Parachutisme des années 1950

Quelques documents connus, d'autres moins...

 

Au début des années 1950, Michel Prik évoluait de meeting en meeting dans les conditions de l'époque, c'est à dire en risquant sa vie pour impressionner les foules, dans la lignée de Léo Valentin qu'il avait rencontré. Il la risquait sans doute moins que d'autres, ce qui explique qu'il en ait survécu. Il progressait de lui-même en échangeant quelques informations avec les rares collègues du même genre dont Chasac faisait également partie. Sa fréquentation d'une salle de sport parisienne lui facilita un accès quasi autodidacte de la chute libre.

Avec ce début de parcours, il a rapidement intégré le milieu sportif très embryonnaire qui dépendait alors du ministère des transports.

Il semble évident qu'une relation officieuse existait entre cette activité civile et les militaires de l'époque. Certains l'assumaient totalement, je crois que mon père l'assumait essentiellement pour les moyens matériels dont il bénéficiait souvent.